C’est dans une lettre (non datée, antérieure à 1645) adressée au Père Mersene que l’on apprend que Jean Brun, maître apothicaire de Bergerac, détient dans son cabinet un bien curieux objet : « Je vous diray encore que despuis quinze jours ença l’on m’a dit un coq d’inde d’un mien voisin ayant avallé en deux fois deux dés à coudre, la maîtresse du logis le tua quelque tems après qui fut environ trois semaines, et on lui trouva dans l’estomac trois petits morceaux de ces dés à demi-digerés, que je garde dans mon cabinet ».