Mapping curiosity : Kaspar Friedrich Jencquel’s Recommendations for Visits of Cabinets in Europe (1727)
La muséographie allemande au XVIIIe s. : comment Neickel et Kanold présentent en 1727 leur inventaire des collections européennes.
La muséographie allemande au XVIIIe s. : comment Neickel et Kanold présentent en 1727 leur inventaire des collections européennes.
Origines des collections des Habsbourg de la cour de Graz (Autriche)
La longue et riche histoire des collections de l’Université d’Aberdeen (Écosse), par le Professeur Peter Davidson.
Éléments biographiques sur Léonard Bernon, collectionneur à La Rochelle.
Plus de vingt ans après sa création en 1773, le Cabinet d’histoire naturelle de Grenoble héritera encore d’un dernier cabinet de curiosités dauphinois : celui de l’un de ses fondateurs, le marquis Gaspard de Sayves, commandeur de Malte.
Cet article a été originellement publié dans Curiosité et cabinets de curiosités, Neuilly, Atlande, 2004, p. 147-154.
Avant-propos et présentation des travaux menés pendant la journée d’études.
Si les recherches conduites jusqu’à présent en histoire et en botanique ont montré l’importance de l’Italie dans la genèse du Cabinet d’histoire naturelle de Grenoble au 18e et au 19e siècles, l’intérêt de l’ancêtre de l’actuel Muséum de Grenoble pour les pays germaniques est resté quant à lui moins connu. Naturalistes dauphinois et savants germaniques nouèrent cependant très tôt des contacts, si bien que les influences réciproques de ces échanges dans leurs travaux sont nombreuses. C’est Dominique Villars (1745-1814), médecin botaniste et acteur depuis Grenoble d’un vaste réseau savant en Europe, qui assura la synthèse de toutes les influences reçues. Il fut l’auteur en 1786 d’une Histoire des plantes de Dauphiné, véritable exploration de la flore dauphinoise.